Quand on essaye de se racheter...

Ayla avait vécu expérience traumatisante en étant jeune puisqu'elle fut mise en esclave avec son frère et sa soeur qu'elle perdit lors de ses 16 ans. De plus elle s'était faite battre par Amir alors qu'elle tentait seulement de les rejoindre. Mais elle garda ses cicatrices en elle ne désirant pas y refaire surface. Plus tard elle entra aux service de Hafsa qui fut une personne bienveillante pour elle. Lui offrant un toit et un travail convenable.

Seulement les évènement jouèrent en sa défaveur au premier abord puisque Amir, l'homme qui l'avait précipité en enfer venait de se mettre en esclave. Ayla était assez effrayé, mais elle ne souhaitait pas se venger auprès de lui et l'aida. Elle se fit passer pour une laide, mais il vit bien rapidement qu'elle ne l'était pas. Amir était un homme étrange qui la laissait elle, approcher. En plus de vouloir la sortir de là, chose qu'elle ne voulait pas. Mais elle fut contrainte vivant un horrible cauchemars. Ayla était complétement abandonner dans une ville qu'elle ne connaissait pas. Jusqu'à ce qu'Amir ne vienne la récupéré la gardant sous son aile.

Ensemble, ils érigèrent un institut pour former des servants de luxe. Certes ont devait les payer ou c'était simplement des esclaves formé. Mais cela marchait énormément. Ayla n'était pas d'une grande aide puisqu'elle ne savait ni lire et écrire. Et elle était encore très lente. Jusqu'au jour où on l'acheta elle pour être l'épouse de Sham. Un personne bizarre, qu'elle appréciait nullement, mais revoir Amir la fit de nouveau sourire radieusement. Encore plus quand ils fuirent tout les deux. Ayla avait récupéré son domicile avec le jeune homme qu'elle ne quitta pas une seule seconde jusqu'à ce que les choses se tasses.

Le temps passait et enfin, Ayla arrivait à lire et écrire correctement. Elle était tellement fière qu'elle montrait a Amir ses prouesses et elle put enfin l'aider dans la gérance de l'institut. Gérant tout ce qui était la maison, le jardin et les comptes. Sa popularité était toujours croissante, même si on s'effaçait en général quand Amir était dans le coin. Il était évident qu'Ayla n'était souriante qu'auprès de lui.

" Tu as fini tes cours ?"

Elle regarda l'ancien marchand d'esclave en souriant, avant de se redresser pour lui dire tout ce qu'elle avait fait chose qu'elle avait encore dut mal à ce faire.

" J'ai fais les comptes, en plus de faire l'inventaire de ce qu'on a. J'ai également préparer les payes."

Ayla était toute contente, même si au final elle était encore captive. Elle refusait catégoriquement de quitter l'institut. Restant enfermer par son bon vouloir.

Amir avait rencontré une belle domestique lors d'un séjour chez Hafsa, domestique dont il apprit qu'il l'avait torturée quelques années auparavant, se rendant compte de ses actions, il éprouva une grande culpabilité ne sachant vraiment comment agir avec elle, n'osant plus lui faire du mal, ne plus la toucher, même si sa proximité le détendait, elle était si gentille.

Alors, il la garda à ses cotés pour pouvoir l'aider à être autonome, en lui apprenant notamment à lire, à écrire à se débrouiller malgré les quelques embûches Sham notamment.

Cependant, il finit par pouvoir rester avec elle et finir son enseignement. Ayla était si efficace qu'à part pour certains cours, il ne servait plus à rien, et s'ennuyait ferme. Alors il se dit qu'il était peut être temps pour la jeune femme de l'aider à déployer ses ailes pour partir vers de nouvelle découverte. Il ignorait cependant comment aborder le sujet quand il savait que la jeune femme était bien casanière.

"Oui, je viens de finir..."

Ayla lui annonça alors tout ce qu'elle avait fit durant la journée et il se mit alors à réfléchir et décida de profiter de cette occasion.

"Tu sais que tu me piques tout mon boulot, à tel point que je m'ennuie ?"

Il resta silencieux un court instant et parla alors de ce sujet si délicat.

"Mais, je pense que tu es capable de partir pour te débrouiller seule... Après tout, ce n'était que temporaire cette situation... Qu'est ce que tu en pense ?"

Ayla appréciait grandement sa vie ici, travaillant lors de ses loisirs dans le jardin attendant ainsi qu'Amir termine ses cours. Une fois qu'il avait fini, elle ne tarda pas à le rejoindre comme cette fois.

" Pas trop dur ?"

Elle lui sourit avant de lui annoncer tout ce qu'elle avait fait aujourd'hui. Ce dont elle était particulièrement fière. Mais, Amir n'avait plus de travail du coup et s'ennuyait maintenant.

" Oh... Je pensais que ça allait te faire plaisir et que tu pourrais te reposer..."

Par contre la suite ne lui plut beaucoup moins. Du moins, c'était le sujet qu'elle m'était tant de coeur a éviter. Hors Amir ne manquait pas un moment pour lui rappelait et là elle n'avait plus d'excuse pour rester auprès de lui. D'ailleurs cela lui fit rapidement perdre le sourire.

" Je..."

Ayla détourna la tête tout en sachant qu'elle ne pouvait pas s'imposer auprès de lui. Il lui offrait déjà beaucoup.

" Je partirais demain... si c'est ce.."

Elle se retint avant de regretter ses paroles et passa rapidement à côté de lui le coeur serré. Elle ne pouvait pas rester, mais là elle n'avait vraiment aucun argument valable pour rester. Avant c'était qu'elle savait pas lire ou écrire correctement. Qu'elle ne parlait pas beaucoup. Hors sa langue s'était délié et elle savait faire plus de chose qu'avant. Ayla s'installa dans sa chambre encore attristé et en colère. Mais elle pouvait pas non plus gêné Amir plus longtemps... Ayla attrapa une de ses affaires avant de la serré contre elle ne sachant pas du tout ce qu'elle allait devenir. Cela l'effrayait.

Amir était content de voir Ayla, elle était souvent présente quand il terminait les cours, et ils parlaient tranquillement ensemble. Seulement, ces derniers temps il ne pouvait plus se permettre de la voir comme la Ayla qui ne savait plus rien faire puisqu'elle savait se débrouiller seule, et devait donc partir.

"Je ne fais tout de même pas grand chose de la journée..."

Elle lista ensuite tout ce qu'elle avait fait pour elle, mais cela lui permettait d'enchaîner sur le délicat sujet du départ de Ayla.

"Je me repose déjà beaucoup plus qu'avant ?"

Ensuite, il parla su sujet en question, mais c'était un sujet qui fâchait définitivement puisque si elle acceptait de partir sa mine s'était dégradée. De ce fait, il ne répondit rien et la laissa partir. Il soupira et la rejoignit plus tard dans la soirée, en frappant à la porte.

"Ayla..."

Il ouvrit et s'assit sur un siège non loin de lui.

"Ta vie n'est pas ici, tu as du temps devant toi, ne la gâche pas, tu seras mieux ailleurs."

Il soupira et réfléchit à ce qu'il allait dire :

"Mon but original, c'était que tu sois autonome, pour que puisses enfin être libre de ma présence, je n'ai pas oublié ce que j'ai fait, et tu n'as pas à me subir plus longtemps."

Il baissa la tête.

"Profite de ta vie en dehors de ses murs."

Amir se plaignait de ne pas faire grand chose durant la journée. Pourtant Ayla pensait pas vraiment tout prendre. Mais c'était vraiment le cas ce qui attrista un peu la jeune femme.

" Je t'en laisserais la prochaine fois."

Cependant, il n'y aurait pas de prochaine fois puisqu'il lui parla encore de son départ. Et cette fois Ayla ne pouvait refuser perdant rapidement son sourire avant de fuir tout en acceptant a contre coeur. Enfermé dans sa chambre, elle resta seule tout en posant doucement ses affaires dans un sac pour partir le lendemain. Rien que cette pensée la terrassé. Et Amir était très loin de l'aider. Il était venu la voir, mais elle s'en serait très bien passé. Ses paroles normalement pour lui faire comprendre l'agaçait plus qu'autre chose et elle fit un grand effort pour ne pas se mettre en colère. Du moins pas pour le moment. Amir s'en voulait, mais son obsession était loin de donner du bonheur à la jeune femme qui cette fois se mit vraiment en colère en lui balançant un coussin dans la figure

" Tu m'agaces avec ta culpabilité, tu m'as déjà beaucoup donner mais tu t'en rends même pas compte. Tu sais même pas ce que je désire."

Ayla avait les larmes aux yeux.

" Sois soulager, l'épine que je suis t'es enfin retirer du pied dès ce soir !"

Sur ce elle attrapa ses affaires et quitta la pièce toujours en pleure avant de se précipiter à l'extérieur. Elle ne savait pas du tout où allait. Mais tant qu'elle restait ici, Amir ne penserait qu'à une chose avec elle. Son passé, il ne voyait que ça, ce qui la démoralisait grandement. Ayla s'arrêta quelque rue plus loin avant de s'asseoir contre un mur pour enfin éclater en sanglot. Elle ne savait plus du tout quoi faire... Mais il restait toujours Hafsa. Elle n'était plus son esclave, mais elle pourrait peut être l'héberger pour cette nuit. Elle ne se voyait plus rentrer à l'institut. Puisque ce n'était pas chez elle et cela ne l'avait jamais été.

Ayla se dirigea tristement chez Hafsa et se fit annoncer. Son ancienne maîtresse était particulièrement surprise de la voir mais aussi compatissante et la laissa dormir pour cette nuit. Tout en cherchant quelque chose qui pourrait plaire à la jeune femme.

La jeune femme lui annonça qu'elle lui laisserait du travail la prochaine fois, sans savoir qu'il n'y aurait pas de prochaine fois puisqu'il ne tarda pas à lui dire qu'il fallait qu'elle quitte l'institut pour enfin voler de ses propres ailes aussi douloureux soit-il pour l'un ou pour l'autre. Elle partit alors et il la rejoignit plus tard en insistant encore plus auprès de Ayla pour qu'elle s'en aille et il la mit en colère.

Il était rare qu'elle se mette dans un tel état, de plus elle sous-entendait qu'il ne la comprenait pas. Alors, il voulut parler, mais il n'eut pas le temps de lui parler qu'elle s'éloignait déjà.

"Ayla ! "

Il soupira en la laissa partir, s'assit, la tête complètement vide, pendant un long moment et au milieu de la nuit il eut une idée et fit appelle à un messager d'urgence pour donner une lettre à Hafsa qui en contenait une autre pour Ayla. La première lettre disait :

"Je me doute que Ayla est venue te voir, comme elle le fait tout le temps, je sais que tu ne m'aimes pas, mais donnes lui cette lettre de ma part."

La seconde disait :

"Ayla, que désires tu vraiment ? Je ne t'ai pas écouté, mais avant de ne plus avoir la chance de pouvoir te parler, j'aimerais pouvoir savoir ce qui te tiens tant à coeur et le respecter si c'est dans mes capacité."

Le messages arriverait dans la nuit, et il espéra que Ayla verrait la lettre et lui répondrait.

Ayla s'était une fois de plus disputer avec Amir. Mais cette fois beaucoup plus violemment et sans retour puisqu'elle s'énerva contre lui avant de partir définitivement de l'institut. Sa présence n'était plus désiré et cela la blessait énormément. Pendant tout son temps ici, Amir n'avait que ses mots à la bouche. Mais ce fut de trop cette fois, prenant vraiment le pas quittant ainsi la maison.

La jeune femme était complétement déboussolé et passa la nuit chez Hafsa qui était malgré tout en colère contre Amir. Mais elle réussit a détendre son amie afin qu'elle dorme. Hafsa soupira avant qu'un messager ne vienne a sa rencontre.

' Un message pour vous.'

Hafsa le prit avant de lire et soupira en lisant les mots de Amir... Il était vraiment incorrigible. Elle lui écrit également un mot en guise de réponse. Puisqu'il n'aurait pas de réponse d'Ayla avant demain.

* Tu enchaînes les faux pas avec Ayla. Essaye de passer au dessus de tes convictions et écoute là vraiment. Au lieu d'un message, j'aurais préféré que tu viennes la voir. Mais c'est déjà bien d'avoir reconnu ton erreur. Je lui passerais le mot. *

Hafsa le donna au messager avant de mettre la lettre sur la table de chevet d'Ayla qui dormait encore. Elle ne se réveilla que plus tard dans la matinée. Peut désireuse d'ouvrir les yeux. Mais le jour était trop présent pour la laisser dormir. Ayla soupira avant de voir une lettre juste a côté. Curieuse elle l'attrapa pensant que c'était un mot d'Hafsa avant de voir qu'il ne s'agissait d'Amir. Il voulait savoir ce qu'elle voulait avant de ne plus avoir contact avec elle. Prise de nouveau de colère, elle froissa la feuille avant de vouloir la jeter mais sans succès. Elle n'y arrivait pas. Tout comme le fait d'avouer vraiment ce qu'elle souhaitait. Ayla ne parvint à lui écrire qu'en fin d'après midi.

* La vie que je menais à l'institut me convenait parfaitement, j'y étais heureuse et je n'avais besoin de rien d'autre. Ta présence m'était également très agréable. Mais je comprend, que cela puisse te peser à force. Je suis bien obligé de l'accepter, je n'ai plus ma place auprès de toi. Tu me l'a bien fais comprendre. Au revoir.*

Ayla se mit encore a pleurer avant de fermer la lettre la donnant rapidement au messager qui lui donnera. Hafsa devait l'attendre dans la cours. Il paraissait qu'elle connaissait des endroits où elle pourrait trouver un travail convenable. Et elle partirait en ville avec elle.

Ami ne comprenait pas les sentiments de Ayla, ou plutôt, il préférait ne pas les comprendre de peur de se tromper sur ce qu'elle souhaitait. Il voulait qu'elle reste, or, un problème de taille se posait à lui, s'il appréciait sa présence, qu'en était-il d'elle ? Avec tout le mal qu'il lui avait fait par le passé, il craignait qu'au font sa présence lui soit douloureuse, sans pour autant qu'elle n'ose le dire. Par cette façon de penser, il attira ses foudre et la mit si en colère qu'elle quitta l'institut pour ne plus y revenir. Regrettant vraiment d'avoir agi de la sorte, il espéra connaître sa véritable opinion en lui envoyant une lettre au milieu de la nuit alors que le sommeil ne parvenait pas à l'atteindre.

Il reçut plus tard une réponse de la part de Hafsa, et elle était effectivement avec elle. Il fut soulagée de constater qu'elle lui donnerait le mot, puisqu'il était incapable de la regarder en face alors qu'il avait déçu Ayla. Il finit alors par s'assoupir et se réveilla plus tard dans la matinée pour enseigner au élève de l'institut.

Il ne reçut qu'une réponse de la part de Ayla en fin d'après-midi. A ses paroles, il comprit qu'il ne pouvait pas l'ignorer plus longtemps et voulut la voir. Amir se précipita alors chez Hafsa pour voir si elle était présente, mais comme ce ne fut pas le cas, il alla chercher en ville. Epuisé et désespéré, il s'assit sur un muret et prit le temps de récupérer. La ville était si grande, il était impossible pour lui d'y trouver Ayla, la nuit tombait et bientôt il serait bien difficile d'identifier les gens dans la pénombre.

Ayla avait mal supporter la demande d'Amir. Pour elle le message avait été parfaitement clair. Elle a plus sa place dans l'institut et devait partir immédiatement. Ce qu'elle fit sans tarder. Mais vu qu'elle était à la rue, elle préféra aller chez Hafsa pour y passer la nuit.

Le lendemain, son amie lui apporta une lettre et lui fit comprendre qu'a son retour, elles iront chercher un travail respectable pour elle. Ayla était assez contente d'avoir son aide puisqu'en plus de cela elle lui proposait un toit. Par contre, Amir lui envoya un mot ce qui lui plut beaucoup moi. Surtout pour re dire ce qu'elle se tuait a dire au début. Ne souhaitant pas le supplier de rentrer, elle lui indiqua simplement son ressentit avant de lui dire au revoir. Ayla avait le coeur serré quand elle donna le message, mais ses pensées fut rapidement prise par le retour de Hafsa qui la pressa d'aller en ville.

Ayla et Hafsa firent un grand tour de la ville pour rejoindre le côté astronomie et littérature. Hafsa connaissait les personnes qui y travaillait et elle espéra que Ayla se fasse accepter parmis eux. Etant donnée qu'elle savait lire et écrire, le choix fut plus hésitant. Ils n'avaient pas tellement envie d'embaucher une ancienne servante mais ils finirent par accepter sous les demandes de Hafsa et l'intérêt que porter Ayla aux étoiles. Sa curiosité sur le ciel joua énormément dans le résultat de son admission. L'entretiens fut si long que la nuit était déjà tomber. Ainsi elles sortirent toute deux du bâtiment en les remerciant prenant maintenant route vers chez Hafsa.

Amir était très mal, partager entre l'envie de vouloir voir Ayla et de la laisser faire ce qu'elle souhaitait et vivre sa vie. il l'appréciait énormément et plus le temps passait plus il se rendit compte de la stupidité de la situation dans laquelle il se trouvait, il l'avait fait fuir et souhaitait à présent la retrouver. Peu enclin à rentrer chez lui, il préféra rester dehors un long moment.

Alors que la nuit était tombé, il sentit des présence hostile autour de lui et chercha à les éviter quand il se fit prendre par le col. Mécontent, il montra son mécontentement.

"Lâchez moi ..."

Cependant, il ne tarda pas à comprendre le motif de leur comportement, et chercha à se défendre en rendant les coups, malheureusement il s'en prenait plus qu'il n'en donnait alors il finit par chercher à s'enfuir en courant.

Passant à travers les ruelles, il bousculait les gens dans son passage et finit par percuter plus fortement une personne, Ayla.

"Ayla ! Je t'ai cherché partout."

Il mit alors son pied en avant et fit trébucher l'un de ses agresseurs.

"Je veux que tu restes...."

Il se tourna en évitant un coup et le rendant.

"Je parle merci !"

Il en mit un à terre et reprit ses paroles à Ayla.

"Je suppose que c'est trop tard, mais je pensais que tu voyais ma présence comme une souffrance."

Cette fois c'est lui qui fut plaqué au sol.

"Alors si l'envie t'en prend, viens au moins me voir quand tu as le temps."

Il se leva tant bien que mal tout essoufflé et mit un poing dans le nez de l'une des hommes qui était probablement cassé.

"Sur ce, je vais aller m'occuper de mes problème ailleurs..."

Ayla avait été forcé de changer de vie. Amir n'avait souhaitait que cela pour elle et elle fut bien obligé d'accepter vivant chez Hafsa. Mais elle n'était pas pleinement heureuse. Pourtant elle avait un vrai travail... Elle soupira marchant dans la rue quand elle fut bousculé par quelqu'un.

" Amir ?"

Elle le regarda surprise, ne s'attendant pas du tout à le voir ici. Surtout qu'elle lui avait envoyé une lettre d'adieu. Mais là il lui demandait clairement de rester auprès de lui. Mais Amir avec également des ennuies ce qui rendait la discussion difficile.

" Ce n'est pas ce que tu disais avant..."

Amir lui expliqua sa vision, comme quoi elle voyait sa présence comme une souffrance, donc si elle avait le temps. Même si elle ne revenait pas vivre avec lui, qu'elle vienne le voir. Ayla soupira exaspéré encore plus quand il devait gérer ses problèmes. La jeune femme lui tourna rapidement le dos marchand dans une direction opposé d'un air déterminé. En fait c'était tout simple elle avait vu un cheval et comptait bien le monter. A peine fut elle dessus qu'elle le lança pour attraper Amir au vol et le faire monter. Cela les sèmera. En plus Hafsa semblait rire de la situation au loin.

" Tu comprend vraiment rien Amir ! Je me demande ce que tu ferais si je n'étais pas là."

Elle guida la monture jusqu'à la maison qu'ils avaient rénové ensemble avant de s'arrêter dans la cour. C'était vraiment chez elle ici. Ayla soupira avant de regarder Amir froidement avant de le pousser par terre, après tout elle lui en voulait encore.

" Tu te rappelle de cette maison ? C'est moi qui l'ait choisie, je l'ai rénové avec toi. C'était chez moi, tu fais également partie de cette maison pour moi et il me semblait naturelle de te voir. Et toi qu'est ce que tu fais, tu me vires de la maison. Tu me fais bien comprendre que je n'y ais pas ma place."

Ayla avait les larmes aux yeux rien qu'en y pensant.

" Et tu crois que je vais te pardonner comme ça et revenir bien docilement te voir. Ce destin c'est toi qui l'a voulut pas moi, tu étais bien trop occupé par tes propres pensée. Tu n'as même pas voulut entendre mes sentiments à ce sujet."

Amir cherchait à échapper à des gens qui le poursuivait quand il fonça dans Ayla, il ne s'y attendait vraiment pas et il fut très heureux de la voir même si l e moment était très mal choisi. Il lui demandait de rester auprès de lui, même si ce n'était ce qu'il disait précédemment, c'était vrai. Il lui expliqua alors sa vision des choses, puisqu'il l'avait beaucoup déformé bien malgré lui. Il souhaitait qu'elle vienne le voir si elle ne revenait pas vivre avec lui.

Ayla partit et il la regarda sans un mot avant de la voir arriver à cheval et il dût monter au vol pour se mettre derrière elle. Il s'accrocha à elle avant de parvenir à s'habituer aux mouvements du cheval et ne plus se tenir du tout.

"Non, je ne comprend rien..."

Elle s'arrêta chez eux, dans l'institut qu'ils avaient tout les deux crées et elle le poussa par terre. Ne s'y attendant pas, il atterrit lourdement sol ce qui fit un sacré bruit et un sacré choc dans tout son corps. Il mit du temps avant de reprendre ses esprits et ainsi écouter la jeune femme. Il la regarda avec des grands yeux, puis plus tristement avant de se lever et attraper Ayla sans lui laisser le choix pour la prendre dans ses bras.

"Je suis le pire idiot du monde, il n'y a pas pire que moi, je n'écoute pas les gens et je ne les comprend pas... J'ai toujours tord, même quand je pense avoir raison..."

Il la lâcha et lui demanda :

"Je sais que tu ne me pardonneras pas, mais peux tu revenir ? J'ai besoin de toi, tu me manques, j'ai besoin de ton aide, j'ai besoin que tu me parles..."

Ayla était surprise de voir Amir, sans les hommes qui le poursuivait déjà. Et après avec, en plus qu'ils soient assez gênant puisqu'ils parlaient tout les deux. Essayant de se réconcilier, hors Amir était incapable de s'en sortir tout seul obligeant la jeune femme a agir en prenant un cheval. C'était très pratique pour prendre la fuite.

Même si Ayla l'avait aidé, elle n'accepta pas ses paroles puisqu'à peine arrivé dans la cours de l'institut elle le jeta par terre. Ce qui devait être particulièrement douloureux. Mais elle ne le plains pas pour autant, lui en voulant encore. Amir resta silencieux et la regarda surpris avant de se lever pour la prendre dans ses bras. La faisant obligatoirement descendre de cheval.

" Arrête Amir, tu exagère là..."

Il en faisait aussi toujours trop ce qui agaçait un peu la jeune femme. Amir lui redemanda de rentrer, qu'elle lui parle, qu'elle l'aide en plus de lui manquer. Ayla inspira doucement touché par ses paroles avant de lui répondre doucement.

" Bon d'accord je rentre... Mais ne recommence plus jamais ça !"

Elle le regarda sérieusement avant de lui sourire plus tendrement cette fois et lui embrassa la joue.

" Tu m'as manqué aussi."

Ayla lui sourit avant d'annoncer sérieusement.

" Par contre, je serais sans doute moins disponible pour l'institut. J'ai accepter un travail et je ne peux pas leur faire faux bond maintenant. Alors qu'ils ont accepté malgré leur réticence."

Amir voulait que la jeune femme lui pardonne, mais il était bien dérangé par des hommes qui lui couraient après, alors, Ayla eut une réaction inattendue puisqu'elle prit un cheval pour l'embarquer avec elle. Quand ils furent arrivé, elle le jeta presque au sol, ce qui fut assez douloureux, tout son corps lui fit mal, mais il était plus en train essayer de se rétablir pour écouter les paroles de la jeune femme. Ensuite, il la prit dans ses bras, et se mit tout les tord sur le dos.

"Tu l'as dit toi même..."

Puis, il lui demanda de rentrer en se justifiant et elle finit par accepter de rester avec lui à condition qu'il ne recommence plus jamais ce qu'il avait fait et qui avait blessé la jeune femme.

"Je n'ai pas l'intention de recommencer... Je te le promet."

Puis, elle lui embrassa la joue ce qui le rassurant encore plus, avant que sa phrase lui fasse beaucoup plaisir. Elle annonça alors sérieusement qu'elle serait moins disponible puisqu'elle avait un travail.

"Tu es trop gentille Ayla, tu ferais mieux de les abandonner..."

Il lui caressa la tête.

"Mais tu fais comme tu veux, après, il faudra que tu me dises si tu veux travailler à l'institut ou si tu veux seulement le garder pour logement."

Amir était tellement content qu'il ne la lâchait plus. Il lui embrassa le front et l'attira à l'intérieur.

Amir était incroyable. Il pouvait vraiment passer d'un extrême à l'autre. Autant il pouvait faire la sourde oreille autant il pouvait se jeter la pierre tout seul pour seulement faire plaisir à Ayla. Ce qui était très loin d'être le cas.

" Ce n'est pas la peine d'extrapoler quand même ..."

Elle soupira avant d'accepter de rester avec lui maintenant. Par contre elle voulait être sur qu'il ne recommence pas, ce qu'Amir lui promit.

" Parfait."

Ayla sourit tendrement avant de lui embrasser la joue tout en lui disant qu'il lui avait quand même manquer. Par contre, elle ne pouvait quitter son travail actuel. Ce qu'Amir lui reprocha la trouvant bien trop gentille.

" C'est cette même gentillesse qui a fait que je suis revenue Amir. Et pourtant tu me demande pas de t'abandonner."

Elle lui sourit amusé avant de répondre à sa question.

" Je peux t'aider le soir pour les comptes si tu veux."

Amir ne la lâchait plus désormais tout en étant particulièrement tendre avec elle avant de rentrer en sa compagnie. Ayla était contente de rentrer et visiblement elle n'était pas la seule puisqu'un élève alla rapidement la voir.

' Vous êtes revenue Mlle. Vous nous avez manqué vous savez.'

Le jeune homme en face d'elle lui sourit discrètement avant de lui embrasser le dos de la main. Toujours intéressé par elle.

Amir haussa les épaules, Ayla n'avait peut être pas tord, mais c'était sans doute la seule manière de la convaincre de rester avec lui. Finalement, elle accepta et il en fut très heureux.Amir lui promit qu'il ne recommencerait plus à agir de la sorte et elle finit par lui embrasser la joue.

Cela lui fit très plaisir, parce que Ayla lui avait beaucoup manquée jusqu'à présent durant le temps de son absence. Par contre elle refusait d'abandonner son travail actuel puisqu'elle avait eut du mal à l'obtenir.

"J'ai rien dit..."

Puis il lui demanda si elle voulait travailler un peu avec lui, où si elle souhaitait uniquement voir le lieu comme un logements.

"Et bien, si tu n'es pas trop fatiiguée, tu pourras m'aider."

Il était tellement content de la voir qu'il ne voulait plus la lâcher. Un jeune homme de l'institut vint la voir en rentrant.

"Où tu te crois... le mioche..."

Il fit un signe de la main pour lui dire de s'en aller avant de l'amener dans le salon.

"Je te dis tout de suite, on veut ma peau, alors si tu entends du bruit le soir, ne bouge surtout pas... Ils me veulent moi..."

Il soupira :

"Et si je me fais enlever... bah... Je laisserais les lieux entre tes mains..."

Il sourit amusé.

Ayla était enfin de retour chez elle. Chose qui lui plut énormément et la fit sourire d'un air ravi. Même si elle devait cumuler deux boulots, un d'astronomie et un autre de comptabilité auprès d'Amir.

" Je pense que ça devrait aller."

Elle lui sourit avant de rentrer en sa compagnie dans l'institut. Ce qui fit très plaisir à certains des élèves. Même un osa lui faire un baise main, se faisant vite reprendre par Amir. Ils avaient a peu près le même age avec Ayla, mais il se passa de le faire remarquer avant de prendre quelque peu la fuite. Ce qui fit sourire Ayla amusé avant qu'elle ne le suive dans le salon. Par contre ce qu'elle y appris était loin de lui faire plaisir.

" Et a part ça tu veux que je reste indifférente ?"

Amir prenait vraiment les choses avec une légèreté affligeante... La jeune femme soupira pour garder son calme avant de finalement craquer en lui frappant le dessus de la tête.

" Imbécile !!"

Elle le regarda agacé avant de prendre les choses en main.

" Tu dormiras avec moi dans ma chambre. Ils ne viendront pas te chercher là. Et s'ils venaient par entrer, tu pourras toujours sortir en passant par le balcon. Tu dois en aucun cas te faire prendre."

Ayla le regarda agacé avant d'affirmer.

" Si tu oses me contredire, je serais pire que ceux qui veulent ta peau. Est ce que c'est clair ?"

"Du moment que tu ne te forces pas..."

Même s'il ne comprenait pas la jeune femme au moment où il le fallait, il faisait en sorte qu'elle n'est pas de problème de santé, parce qu'il se sentirait mal de la voir malade à cause de l'épuisement. Elle n'était pas en sucre, mais la maladie emportait rapidement les gens et souvent au moment où ils s'y attendait le moins.

Par contre, ce qui ne plaisait pas c'était qu'un élève tourne autour de Ayla, cependant, ce qu'il oubliait c'est que Ayla était bien plus jeune que lui donc tout à fait de l'âge de ce jeune homme. Il emmena la jeune femme dans le salon, mais elle ne semblait pas d'accord avec ce qu'il disait.

"J'aimerais en tout cas..."

Cependant, la jeune femme finit par le frapper alors qu'il ne s'y attendait pas, il sursaute.

"Me frappe pas..."

Elle voulait qu'il dorme dans sa chambre, et il n'avait apparemment pas le droit de la contredire.

"Mademoiselle Ayla, j'ai par contre une question importante : Où je dors ? Je ne dormirais pas par terre..."

Il sourit amusé en se demandant qu'elle solution elle allait pouvoir trouver.

"Sinon je dors dans ma chambre."

" ça ira !"

Elle sourit d'un air rassurant avant de le suivre à l'intérieur du bâtiment. Beaucoup étaient ravi de la revoir et les déclarations discrète reprirent de plus belle. Même si Amir la protégeait toujours jouant le chaperons. Chose qui amusait Ayla, se souvenant parfaitement de leur différence d'âge.

Alors qu'elle était rentré dans le salon avec lui, Amir lui parla d'une chose assez grave. On voulait sa mort et le plus absurde dans tout ça, c'est qu'il voulait qu'elle reste indifférente à tout cela.

" Tu le crois tout de même pas..."

Au début elle était parfaitement calme, mais c'était qu'une illusion puisqu'elle finit par exploser en lui frappant brutalement la tête. Amir arriva même à se plaindre.

" Alors évite de dire des bêtises aussi grosse que toi."

Ayla le regarda complétement énervé avant de lui dire qu'il dormirait dans sa chambre. Et aucune protestation n'était envisageable. Mais il posa cependant une question. Où il dormait ? Car il ne souhaitait pas du tout dormir par terre. Ayla redevint plus calme et répondit d'un naturelle affligeant.

" Eh bien tu dormiras dans mon lit et je me mettrais par terre."

Amir n'était pas du tout apte à laisser la jeune femme au mains de d'autres personnes, en faite, il souhaitait simplement qu'elle soit tranquille avec ce genre de chose jusqu'à ce qu'elle ait décidé du contraire. Puis dans le salon il lui parla des problème qu'il avait pour le moment et il ne voulait pas que Ayle s'embête avec cela estimant que ce n'était pas très important. Seulement, elle pensait le contraire.

"Eh bien... si ? "

Ayla finit par exploser ce qui surprit le jeune homme qui ne s'y attendait pas du tout. Surtout de se faire frapper en fait.

"Mais..."

Il soupira avant qu'elle ne trouve une solution toute seule, cependant, Amis avait ses exigences et ne voulait pas dormir par terre. Cependant, il ne voulait pas que la jeune femme dorme par terre non plus.

"Pas question ! Seuls les animaux et les esclaves dorment par terre et tu n'es ni l'un, ni l'autre. Tu ne dormiras pas par terre..."

Il la regarda déterminé.

Ayla avait grandit au côté d'Amir, elle était devenu plus indépendante et aussi plus mature. Ce qui lui donnait des réactions plutôt étonnante, déjà elle se permettait de frapper Amir quand il la mettait en colère avec ses réactions idiotes.

" Il y a pas de mais !"

Elle le regarda agacé avant de l'informer de la suite des opérations. Amir allait dormir dans sa chambre, personne n'aurait l'idée de venir. Et si un y pensait il pourrait toujours prendre la fuite en passant par le balcon. Cependant, Amir était quelqu'un de particulièrement exigeant puisqu'il ne voulait pas dormir par terre. Alors ce sera elle, ce n'était pas bien grave. Ce qu'il refusa encore.

" Oh Amir ! Tu vas pas me prendre la tête pour ça, j'ai dormis par terre depuis mes 16 ans et cela ne t'avais pas grand chose !"

Elle le regarda tout aussi déterminé avant d'ajouter.

" Si ça peut te rassurer, ce n'est que temporaire."

Ayla soupira avant de couper court à la discussion.

" Enfin, je vais passer chez Hafsa chercher mes affaires. Je n'ai plus rien ici."

La jeune femme avait bien changé depuis qu'ils s'était rencontré, à présent, elle n'hésitait pas le contredire, à s'énerver contre lui et même à le frapper. Il essayait de se défendre, mais il était dur de lutter contre une telle Ayla. Elle voulait qu'il dorme dans sa chambre, mais il avait des exigences qui ne pouvait être comblée. Alors, elle continua à s'énerver contre lui.

"Je veux pas le savoir, tu ne dormiras pas par terre !"

Il craignait pour les serpents et les scorpions notamment, certes, ils pouvaient venir sur les lits, mais c'était bien moins risqué qu'au sol. Il ne souhaitait en aucune cas la laisser dormir par terre, alors, il réfléchit à une solution.

"Je t'accompagne..."

Il lui prit la main et la tira à l'extérieur, normalement, il n'y avait aucun risque pour le moment, il s'en était débarrassé et avant de le retrouver, il fallait faire des efforts.

"Je peux faire installer un lit, il doit bien y en avoir d'autre... Sinon, je dors dans ma chambre... La dernière solution ne te conviendra pas donc je ne la dirais pas..."

Il soupira, et tout en marchant :

"Enfin, après tout, c'est à toi de juger... Ton lit est assez grand pour qu'on puisse y dormir tout les deux..."

Finalement, il arrivèrent chez Hafsa et Amir attendit qu'elle prenne ses affaires.

Ayla et Amir se disputaient pour la nuit. Aucun des deux n'étaient d'accord sur un point. Ou il dormirait et ou elle dormirait par la même occasions. Elle n'était pas du tout déranger par le sol mais lui en faisait une véritable montagne.

" Je dors par terre si j'ai envie !"

Elle soupira agacé de toute façon la discussion était complétement bouché. Ayla préféra lui dire qu'elle allait chez Hafsa chercher ses affaires, vu qu'elle n'avait plus rien. Amir tenait cependant à l'accompagner.

" Si tu veux..."

Elle le regarda avant de nouveau retomber sur le sujet ce qui agaça fortement la jeune femme. Il parlait de trois solution, mais la troisième était inconnue.

" On a plus de lit on a acheté le nombre pile. Et pour le moment la deuxième est celle qui me déplait le plus."

Ayla le regarda avant d'entendre qu'il pouvait dormir ensemble... Elle réfléchit un instant avant de lui répondre indécise

" Oui, pourquoi pas. On a déjà dormis ensemble. Il y a aucune raison que cette fois devienne gênante ou sois différente."

Une fois arrivé chez Hafsa, elle partir chercher ses affaires. Rejoignant Amir peu de temps après rentrant en sa compagnie à l'institut. Suffisait d'aller se coucher maintenant.

" Au fait je pensais, on pourrait avoir un chien aussi. Cela t’alerterai si il y avait une intrusion."

Ayla ne voulait pas le laisser dormir dans la chambre, mais il ne souhaitait pas dormir par terre ou que la jeune femme dorme par terre alors il se plaignait et elle faisait de même, chacun faisant bien entendre son point de vue, sans pour autant réussir à le faire comprendre.

"Non, tu dormiras pas par terre !"

Ensuite, il l'accompagna pour aller chez Hafsa, elle semblait désespérée par le comportement du jeune homme mais ce n'était pas très grave. Par contre, il parla de d'autres solutions, mais la première n'était pas possible à cause du manque de lit, et elle ne voulait pas la deuxième.

"Faudra bien trouver une solution..."

Puis il lui dit a dernière solution, ce qui ne semblait pas la déranger.

"Non, mais peut être que si quelqu'un t'intéresse ce sera plus gênant, puisque même si c'est temporaire je doute que je pourrais retourner dans ma chambre de si tôt..."

Ensuite, ils rentrèrent à l'institut.

"Mhh, Pourquoi pas, on ira chercher ça demain..."

Puisque apparemment la seule solution était de dormir ensemble, il se changea et alla se coucher et gardant bien la jene femme contre lui.

"Dors bien..."

Ayla et Amir était continuellement en train de se disputer, jamais d'accord avec le choix de l'un ou de l'autre. Il ne voulait pas qu'elle dorme par terre, elle ne voulait pas qu'il dorme dans sa chambre. A première vue cela devait passer mais pour des détails aucun des deux ne trouvaient satisfaction. Jusqu'au moment où l'idée de dormir ensemble apparu. En plus ce n'était pas la première fois donc ça irait. Seulement Amir émit l'hypothèse qu'elle serait intéressé par un homme...

" Par qui ?"

Elle le regarda avant d'ajouter.

" En plus tu es mal placé pour dire que ce serait embêtant. Tu as été le premier à râler quand j'ai fais croire à Shun que je pourrais bien l'épouser. Et pour bien marqué la chose tu m'as demander de dormir avec toi, vu que c'était faux."

Ayla sourit quand même amusé par les sautes d'humeur que pouvait avoir Amir. Une fois rentrée, Ayla se changea derrière le paravent tout en proposant d'avoir un chien de garde. Ce qui avait l'air de plaire au jeune homme.

" D'accord."

Elle sourit satisfaite avant de se glisser dans son lit peut de temps rejointe par Amir qui ne tarda pas à la prendre dans ses bras.

" Bonne nuit Amir."

Elle lui sourit tendrement avant de lui embrasser la joue avant de s'endormir. Ayla bougeait souvent durant la nuit mais elle ne donnait pas pour autant des coups. Seul les matins étaient assez sportif... Mais il fallait dormir avec elle pour le savoir.

Le jour ne tarda pas à se lever ce qui réveilla doucement Ayla sans pour autant lui donner conscience de ce qui l'entourait. Sentant une présence chaude à ses côtés elle se rapprocha d'Amir tout en l'enlaçant tendrement peu décidé à se lever puisqu'elle faisait tout pour qu'il reste contre elle.