Esclaves un jour, esclaves toujours !

A Jheld, il existait différent type de personnes qu'il était possible de séparer en différentes catégories : La première était les gens normaux, artisans, commerçants, qui héritait de l'affaire e leur parents arrivés à un certains âge, la deuxième était les nobles, peu nombreux, ils étaient pourtant les personnes dont la population entendait le plus parler, s'il héritait tout comme la première catégorie de leur parents, leur patrimoine était sensiblement plus grand, et le travail n'était pas tout à fait le même ; ensuite, il y avait les nomades, population incompréhensible de Jheld, puisqu'ils traversaient le pays de long en large durant toute leur vie, ils étaient aussi les artisans et commerçant les plus talentueux du pays, enfin, vient les deux dernière catégories, les esclaves vendu par leur parents, ou enlevé et les marchands qui vendait pour une somme d'argent généreuse leur magnifiques bêtes.

Amir faisait partit de la catégorie des marchands d'esclaves, il haïssait ses derniers depuis toujours, pour lui leur existence ne servait à rien dès leur naissance si ce n'est à servir des personnes supérieures à eux, seuls les bourgeois et les nobles pouvaient se permettre d'investir dans des outils de travail de ce genre, les catégories d'en dessous ne valaient de toute manière pas plus que les esclaves. S'il détestait les esclaves, c'était parce que plus jeune il s'était fait trahir par l'une d'entre eux, et il avait compris que que les esclaves n'était que des déchets à qui personne ne pouvait faire confiance.

« J'espère que la tournée qui arrivera ce soir sera de bonne qualité... »

Le jeune homme soupira, assit dans son confortable fauteuil de cuir importé tout droit de l'étranger. Il songeait aux ventes qu'il avait effectué il y a quelque temps. La qualité n'était pas au plus haut et il espérait que cette tendance changerait. Il ne pensait pourtant pas avoir épuisé les produits de qualité. Amir se leva pensif, il y avait cet esclave à réprimander, cela lui ferait une bonne occupation en attendant qu'il puisse étudier les nouveaux arrivants qui seraient probablement vendus dans la soirée.

« Salut, ma jolie ? »

La terreur sembla envahir l'adolescente en face lui, elle savait ce qu'il adviendrait d'elle, il ne voyait pas d'autres possibilités d'une telle réaction. Alors il l'amena avec lui jusque dans une salle situé dans un sous-sol frais et dont l'odeur nauséabonde du sang en repousserait plus d'un. La jeune fille se crispa quand elle vit les instruments de torture rangé contre les murs.

« Mhh, c'est ta première erreur n'est ce pas ? Alors je vais être gentil... »

Il sortit un fouet parmi les divers outils et commença à la frapper dans le dans, la jeune fille gémissait sous les coups car la douleur était intense. Elle semblait avoir comprit, alors il arrêta de la frapper. Le dos de l'adolescente était en sang. Il la poussa et la remit dans la cellue ou se trouvait la majorité des esclaves.

Amir passa la reste de la journée à attendre que les nouveaux esclaves arrivent. Quand il entendit le bruit familier il regarda par la porte d'entrée pour une faire une première observation, ils y avait des hommes et des femmes de très bonne qualité pour une fois. Cette soirée lui servirait beaucoup pour son argent. Il en récupérerait surement beaucoup.

« Très bien, il faut fixer les prix à présent... »

Hafsa était une jeune noble d'une grande famille de la capitale. Chose des plus normal puisque sa famille possède des relations très haut placé avec le sultan. Son père est conseiller et son frère va pour le même chemin puisqu'il suit toute les réunions afin de pouvoir un jour assister le futur sultan. Hafsa elle par contre était formé pour être une noble dame qui soutiendra son homme dans l'ombre. Et peut être un jour avoir le privilège d'être la concubine du nouveau sultan. Ou d'un des princes. La jeune femme n'était pas vraiment dans cette esprit noble qu'on voulait la former. Elle n'en voyait même aucune utilité, asservir les gens étaient contre ses règles, mais quand elle prenait une esclave c'était pour l'avoir avec elle continuellement et la protéger de tout mal. Il lui arrivait même de rendre la liberté de certains qui aspirait une vie de famille. Cependant, quelques une tenait fidèlement à la servir. La jeune femme était ravi puisqu'elle avait une amie a qui se confier et aussi avec qui elle pouvait se détendre sans attendre une exécution de l'étiquette.

Cependant un jour, elle avait eu l'envie d'acheter une esclave particulièrement mal mener. La voir ainsi pleuré lui plaisait guère. Depuis cette esclave est devenu sa plus fidèle servante et a même refuser l'affranchissement de peur de retomber dans les griffes de ce marchand d'esclave. Hafsa avait écouter son histoire et fut horrifié par tant de torture. Elle était noble et bien placé autant jouer de ses pouvoirs. Contre l'idée de ses suivantes inquiètes elle décida de se faire attraper par cet homme en question. Ses suivantes paniquèrent et tentèrent de l'en dissuader. En vain, elle voulait lui faire payer ses maltraitances et rien ne lui ferait changer d'avis.

Hafsa organisa tout, elle paya des marchands d'esclave pour le conduire a cet homme, le moindre faut pas. Il se ferait trancher la tête, de quoi dissuader plus d'un roublard. Ils prirent le risque a contre coeur avant de l'aider a se préparer tout en faisant bien attention de ne pas l'abimer. Même si c'était pour le camouflage, ils ne voulaient en aucun cas perdre leur tête. Hafsa était parfaite, tout jouait en sa faveur. Les marchands étaient particulièrement inquiet mais après le sermon de la jeune femme ils prirent enfin leur rôle habituelle a coeur. Le soir venu, comme a chaque fois, ils amenèrent a ce fameux homme les esclave classé des plus cher au moins cher entre autre. Hafsa faisait partit du milieu, tête basse. Hafsa attendait son bourreau avec impatience tout en cachant le sourire de victoire. Elle serait sans doute blesser. Mais rien qu'a penser au lendemain, elle jubilait de plaisir. Heureusement qu'elle était bonne comédienne car on jurerait qu'elle avait peur. Comme quoi ses cours lui servait d'une bien étrange manière.

Amir était confiant quant à la qualité des futurs esclaves qui se retrouvait entre ses mains pour cette longue soirée. Soirée peut être interminable pour eux, bien courte pour lui. C'était une fois par semaine que se déroulait les enchères aux esclaves le reste du temps étant fait de ventes d'esclaves inférieurs. Alors qu'il voyait tout les esclaves arriver dans la cours, il sortit et les observa pendant un moment en silence.

Il en repéra quelques uns qui pouvait se vendre à bon prix, et une fois qu'il furent tous classé il demanda à les observer un par un pour les classer en groupe différents. Les premiers étaient ceux qui se venderait au cours de la soirée à des places bien définit et qui était plus ou moins considéré comme des rareté. Le seconde groupe, assez nombreux était ceux qui servirait à faire un peu d'argent, mais ils ne seraient les plus vendeurs, le dernier groupe était celui de ce qui ne pouvait être vendu aux enchère et donc destiné à des revenus plus bas.

Hasfa fut observer un long moment détailler il avait même attraper son visage assez brutalement pour l'observer, ensuite, il la poussa vers le second groupe.

"Bon vous les emmenez dans les salles en attendant ce soir... pour le dernier groupe vous les emmenez derriere."

Une femme voulut rejoindre une personne qu'elle connaissait sans doute, dans une autre groupe que le sien, Amir l'attrapa à la tête et écrasa contre le mur. Sans doute lui avait il briser le crane puisqu'elle était tomber raide.

"Me faire perdre du temps pour être aussi faible ?"

Il soupira puis se dirigea à l'intérieur.

"Sortez la de chez moi..."

Puis ses hommes prirent le cadavre pour le jeter dans la rue. Il ne fallait pas sous estimer la force brut de Amir, il avait l'habitude de maitriser les resistant. Si Hafsa voulait subir, il fallait qu'elle le cherche un peu plus que siplement rester terrifier.

Hafsa était une personne très calculatrice et puissante quand elle voulait. Elle se plaisait a échafauder des plans pour punir des gens ou tout simplement arriver a ses fins. Le marchand d'esclave brutale qu'elle avait en face d'elle, allait subir ses foudres. Rien que de penser a cela, lui effacer une quelconque inquiétude, hors elle se devait de vraiment jouer le jeu. Sinon tout le chemin serait perdu. Quand il se rapprocha d'elle, elle se plia a ses désirs sans broncher même s'il était brutal.

Les marchands d'esclave l'avait bien maquillé afin qu'elle soit vraiment une femme de seconde classe. Car après tout elle valait beaucoup plus, ses cheveux sont normalement d'un rouge sang éclatant et ses yeux dorée pétille d'une force incroyable. Sa peau également bronzé était parfaite et impeccable. Mais ils l'avaient salit de terre et de poussière. Ses cheveux furent crêpé et ses yeux furent également maquillé pour donner un éclat moins fort. Tout pour appartenir a la seconde classe. Ce qui marcha puisqu'elle fut envoyé dans se groupe. Hafsa regarda les gens autour d'elle qui tremblait véritablement. Encore plus quand il tua l'amante d'un très bel homme. Du moins assez robuste pour faire l'affaire. Celui-ci s'effondra complétement en vu de la triste fin qu'avait eu sa "femme". Hafsa la regarda d'un air attristé avant de jeter un regard noir au marchant qu'elle connaissait et ils déglutirent inquiet.

Le marchand d'esclave en avait fini, du coup ceux qui l'avait emmené s'empressèrent de s'enfuir a toute jambe. Hafsa suivit là où on la guidait et apporta de son courage pour rassurer certains des esclaves. Les aider au moins a passer la nuit sans avoir une peur insupportable. La nuit passa durement, Hafsa était un peu fatigué de toujours consoler des femmes en pleures. Mais rien que de penser a sa suivante qui avait subit de tel traitement l'énerver d'autant plus... Hafsa soupira tout en pensant a cette matinée. Une fois poser sur l'estrade, cet homme sera directement amené chez elle. Les esclaves pourront s'enfuir et elle. Elle redeviendra la noble pour accueillir cet homme maudit qui sera devenu esclave a son tour.

Les gens se méfiait de Amir car il était doté d'un sacré poigne malgré on physique pas particulièrement imposant. Il était musclé, et il suffisait de peu pour les voir, dès qu'il avait les bras nus il était simple d'observer ses muscles, mais il gardait un minimum de finesse qui le rendait charmant physiquement. Seuls ses yeux vides pouvaient effrayer les gens au premier regard, les yeux d'un homme qui avait trop subit dans sa jeunesse pour ressentir quoique que ce soit à présent. Un enfant ne nait pas violent et son éducation devait aller de pair avec la façon dont il traitait les Hommes aujourd'hui. Brutalement, tuer une personne ne lui faisait rien, même en voyant se pauvre homme s'effondrer.

"Si tu veux, tu peux la rejoindre, tu me rapporterais de l'argent, mais ce n'est pas un homme faible dont j'ai besoin..."

La soirée arriva et il repassa devant les lieu ou se trouvaient les esclaves pour estimer l'argent qu'il pourrait de fair avec eux.

Plus tard, il s'endormit sur ses papier et le lendemain matin, il finit par emmener Hafsa, mais quelque chose ne tournait par rond. Il s'aperçut bien trop lentement que cette femme avait tout calculer, et le fait qu'il ait prit une noble fut tres mal vu, il se fit arreter par des gardes en assomant un, mais se fit trainer. Il se défendait mais comment lutter contre plusieurs homme ? Il ne pouvait pas alors, il finit par suivre calmement, il règlerait ça une fois la bas.

"Je ne crois pas que mon activité soit illégale !" avait-il dit arrivé la bas.

Hafsa trouvait cet homme répugnant et l'attente du lendemain était insupportable. Déjà par les pleurs incessant et surtout pour la joie qu'elle aurait en voyant sa tête complétement dépité et asservit. Hafsa sourit amusé a cette pensée avant de regarder autour d'elle. Elle était en trop parfait état... Après une rechercher minutieuse, elle arriva a atteindre discrètement un clou mal enfoncé et s'entailla volontairement le bras et le dos. Puisqu'elle se fit volontairement attrapé. Donc on l'avait punit sois disant sous les ordres de leur chef. Hafsa était prête manquait plus que le lever du jour.

Le matin arriva, Hafsa continua sa comédie à la perfection et monta sur les planches. Beaucoup furent horrifié et psalmodié des paroles pour se protéger tout en ayant personne qui surenchérissait. Puis vint les gardes qui emmenèrent de force son "bourreau" Du moins faux, puisqu'elle était le siens. Une fois qu'il fut hors de vu, les esclaves s'enfuirent pendant qu'une suivante et un garde vint vers elle.

" Oh mademoiselle ! Je vous ai pourtant dit de pas y aller. Regarder dans quel état vous êtes !"

Hafsa sourit tendrement en voyant sa suivante et tenta de la rassuré doucement.

- Je vais bien Ayla t'inquiète pas. Tout va bien.

Sa suivante secoua la tête et l'emmena a sa suite accompagné du garde qui la protégeait dorénavant. Hafsa fut ramené a l'hacienda où on lui donna un bain en plus de nettoyer sa chevelure qui reprit sa belle couleur. On lui donna ensuite des habit convenable. Et pour finir on la coiffa élégamment.

" Monsieur votre père était mort d'inquiétude a votre sujet. Il était devenu complétement fou. Encore plus quand il a appris votre vente en esclave. C'était une très mauvaise idée... En plus cet homme..."

Ayla trembla avant de continuer horrifié.

" Il est mauvais, faites attention... Vous n'auriez pas dut amené ce diable ici."

Hafsa la regarda avec un sourire tendre avant de lui caresser la tête.

- Je vais surtout lui faire payer son comportement. Les dieux ne veulent pas s'en charger je le ferais pas moi même. Un homme cruel tel que lui n'a pas a agir de la sorte. Il faut qu'il apprenne également.

Ayla la regarda tristement avant d'être complétement exaspéré devant l'amusement de sa maîtresse.

- Et puis comme ça j'aurais une occupation. C'est en une pierre deux coups. Je vais vous venger en plus de m'amuser.

" Vous êtes cruelle"

Mais Ayla sourit un petit peu. D'un côté elle n'avait aucune compassion envers cet homme. Harfas sourit avant de quitter la salle des bains pour rejoindre la salle où se tenait les rencontre. Là en ce moment son père devait converser avec le marchand d'esclave.

" Vous alliez vendre ma fille au enchère ! De plus vous l'avez maltraité et tout cela est légal ?!"

La voix de son père était si forte qu'elle résonné dans tout le couloir. Hafsa avait même sursauter mais elle avança d'un pas discret pour bien entendre.

" Vous méritez qu'on vous coupe la tête sur le champs ! Garde !"

Hafsa inspira avant de faire son entrée sans regarder le marchand d'esclave. Elle arriva vers son père qu'elle détendit d'un seul toucher.

- Si plutôt devenait il mon esclave ? Vous savez quel point les exécutions me déplaisent. Malgré la faute qu'il a commis.

Son père souffla contrarié avant de répondre quelque peu énervé.

" Qu'il en soit ainsi. Il sera a ton service. Mais le moindre écart il sera battu et mis au cachot sans eau ni nourriture !"

- Je ne vous contredirait pas père...

Hafsa jouait la femme très douce, puis quand son père partit pour le palais. Hafsa reprit son regard véritable. Supérieur et glacial. Et tout l'agacement qu'elle avait envers l'homme était présent. En plus le voir ferré ainsi la fit rire. Un collier de fer une chaîne comme pour tenir un chien en laisse. Ainsi que les poignet immobilisé.

- Tu as dut en faire baver au garde pour être enchaîner ainsi.

Elle se payer ouvertement sa tête. Surtout qu'ici, c'était elle la maîtresse. Tout lui obéissait.

Amir avait été piéger par cette femme qui n'était pas celle qu'elle avait fait paraître. Il ne se sentait pas trahit, elle n'était pas quelqu'un de proche, de toute manière, il n'avait personne proche de lui. Il était surtout en colère, après lui-même pour ne pas avoir fait plus attention et après cette femme. Jamais il n'aurait songer qu'un noble se mêle dans son trafic; Amir se mit à rire, il préférait les nobles qui restait dans leur coin, peureux, et qui se contentait d'acheter quelques esclaves pour les ajouter à leur collection.

En présentant cette femme, il s'était condamné et malgré tout ses efforts, les gardes finirent par le maîtriser. Il se souvint alors des paroles qu'une personne lui avait dites : "Fais toi comme ennemi le monde, et tu seras seul quand tu auras besoin d'aide." C'était bel et bien le cas. Il ne regrettait pas d'être seul au monde, mais il devait se débrouiller par lui même. Il suivit en silence tout en jetant des regards noirs aux gardes. Finir avec un collier de métal n'était guère plaisant, tout ça pour pouvoir le maîtriser, ils étaient vraiment faible. Il se retrouva en fasse du père de la jeune femme qui hurlait un peu trop.

"Je ne l 'ai pas maltraitée, je ne l'ai pas touchée d'une et de deux, vous ne trouvez pas cela étrange qu'elle ne m'ait rien dit à propos de son statut de noble ? Je l'aurais libérée si j'avais su."

Amir retenait toute la colère qui le rongeait, et parlait sur un ton glacial, mais pas agressif, il détestait qu'on l'accuse injustement. Il ne l'avait même pas blessée, alors l'accuser de maltraitance était exagéré, surtout que jamais il ne se serait permit de prendre une noble, il aurait eu trop de problème, problème qu'il avait même à présent. De plus la mort l'attendait, seulement, la jeune noble qui avait monter un plan contre lui apparu et si les gardes ne l'avait pas retenu de toute leur force, il l'aurait sûrement agressé violemment. Et le pire dans tout cela c'est qu'elle jouait à l'enfant compatissante. Amir serra ses poings liés, et son front était marqué par une ride entre les deux sourcils. Au moins, il resterait en vie, et aurait le temps de s'occuper du cas de cette petite noble.

Une fois son père partit, la jeune femme fit apparaître sa véritable personnalité. Et d'un coup sec il tira sur sa chaîne pour attraper le cou de la jeune femme et le serrer.

"Ce n'est pas parce que je suis attaché que tu es en sécurité !"

Il ne comptait pas la laisser indemne, et plutôt il se chargerait d'elle mieux ce serait.

Hafsa était une personne particulièrement calculatrice vaquant aussi bien que dans le bon côté et le mauvais côté. Il fallait seulement que ses désirs soient dans l'un ou l'autre camps. De ce fait, elle jouait du neutre en généralisant. Hors c'était une personne particulièrement dangereuse qui jouait de son physique, de sa culture et de ses manipulations. Les marchands d'esclaves étaient très rarement dupe aux excuse qu'on pouvait leur prétendre. Encore plus quand la femme présentait ne vaut pas plus qu'un type deux. Hafsa avait bien tout jouer et son père partait parfaitement dans ses espérances.

" C'est bien ce que tout condamné jurent alors qu'ils mentent comme ils respirent !"

Hafsa finit par intervenir en demandant une peine entre autre moins lourde à l'homme. Ce qui marcha. Son père ne tarda pas et s'en alla pris par les affaires du palais. Hafsa, elle, reprit son caractère véritable et l'air moqueur qui se dessina joliment sur son visage. L'homme devenu esclave fit ressortir toute sa violence et lui attrapa le cou brutalement. Hafsa ne vacilla pas et son regard plein de défis en plus d'être supérieur dévisagea sans état d'âme l'homme en face d'elle. Hafsa soupira avant de réagir rapidement en utilisant la force de son adversaire pour le mettre a terre. Elle était agile donc pas un soucis pour elle, elle en avait vu d'autre. Du coup elle attrapa la chaîne tout en appuyant sur les points stratégique du corps de l'homme.

- Ne me sous estime pas. J'ai bien l'intention de te faire payer pour Ayla.

Sur ce elle laissa la chaîne a des gardes plus fort, largement plus même car ils pouvaient être du palais. Puis elle marcha sur la tête du marchand avant de se diriger plus loin d'un pas élégant. Juste dans un coin sombre. Une suivante complétement voilé et tremblante s'inquiéta pour sa maîtresse qui possédait des marques. Hafsa s'en moquait mais pour s'amuser elle regarda les gardes.

- Attachez le au cachot. Il faut l'affaiblir pour qu'il devienne plus docile.

Elle sourit en envoyant un baiser souffler au marchand. Cela la faisait beaucoup rire. Hafsa irait le voir plus tard, alors qu'il serait attaché les poignets levé au mur ainsi que le cou. Les pieds en général était enchaîner avec un boulet. Que du bon matériel pour bien immobiliser. Et puis, il possédait encore trop de force. L'affaiblir était primordial. D'où l'utilité des "poison". Ce qu'elle ne tarda pas a commencer a préparer.

Amir n'avait réellement rien faire, malgré que le père soit incapable de le comprendre. Cela concernait sa chère fille alors il ne pouvait même pas croire l'une des paroles de Amir, bien que ce soit la vérité. Il n'avait aucune raison de mentir, alors que ce qui c'était réellement passé était en sa faveur.

"Ils mentent parce qu'on les force à mentir, alors qu'ils disaient la vérité..."

Tout les suspect n'était pas des menteur et tout les condamnés à mort ne l'était pas, ils le devenaient après avoir subit de nombreuse torture pour entendre ce qu'on attendait d'eux. Quoiqu'il en soit lui aussi était condamnés à mort jusqu'à ce que la noble qui était la faute de tout apparaisse pour le sauver. Enfin, il aurait sans doute préféré être décapiter sur le champs, mais bon... Il n'avait guère le choix. Il voulut l'étrangler, mais ce n'est pas pour autant qu'elle abandonna, et elle le mit même à terre, si ses mouvements n'avait pas été limité cela aurait été bien mieux.

"Je ne sais même pas qui est cette Ayla..."

Il essayait de se redresser tant bien que mal, mais impossible. Elle lui marcha sur la tête et il lâcha un grognement. Elle cherchait à l'affaiblir ce qu'il n'acceptait pas. Il se retrouva en fermer son pouvoir se mouvoir, de temps en temps il entendait le bruit des chaines et se demandait quand il allait pouvoir sortir de cet endroit sombre, il n'avait pllus aucune notion du temps.

"J'aurais préféré être tué je crois..." dit-il en soupirant.

Le marchand n'avait pas faux, du moins pas vraiment. Hafsa s'en fichait, elle avait horreur des marchands d'esclave. Et obtenir le pire lui donnait une certaine jouissance. L'asservir et le brutalisé comme lui avait osé le faire sans état d'âme l'amusait. La jeune noble sourit d'un air satisfait une fois que son père était partit. En plus il avait tenté de l'attaquer mais elle ne faiblit pas. Au contraire, puisqu'elle le mit complétement a terre.

- Une de tes victimes, mais il est vrai que si tu retenais leur nom. Ce serait plutôt étonnant.

Elle sourit amusé avant de le laisser au mains des gardes. Ceux ci l'envoyèrent directement au cachot afin qu'il s'affaiblisse. Donc sans le nourrir ni même le faire boire ou le voir. Un traitement assez effroyable où la mort achève les souffrance. Surtout par cette chaleur qui nécessite vraiment qu'on s'hydrate. Hafsa n'était pas inquiète voir pas du tout pour lui. S'il mourrait ce n'était pas bien grave.

Cependant, dans l'une des cuisines de l'hacienda. Ayla était en train de prendre certaine choses sous sa cape. Constamment couverte et voilé, on ne pensait pas la regarder. On s'était dit qu'elle avait dut être terriblement marqué par des coups pour qu'elle se cache ainsi. Qu'elle soit défigurer entre autre. La jeune suivante regarda alors autour d'elle d'un air discret avant de marcher dans les couloirs d'un air soumis et effacé jusqu'à atteindre la porte qui conduisait aux cachots. Elle put y entrer sans trop de problèmes et sans être vu. Ayla descendit les marches doucement avant d'atteindre enfin les grilles où elle chercha le prisonnier jusqu'à tomber sur lui. Bientôt un jour et demi étaient passé sans qu'on vienne s'occuper de lui. Ayla regarda derrière elle avant d'ouvrir les grilles doucement et s'installa juste en face d'Amir accroupit. Elle ne leva pas vraiment les yeux vers lui, toujours marqué parce qu'il lui avait fait subir. Mais elle ne voulait pas qu'il subisse un tel sort. C'était insupportable pour elle. Du coup elle sortit de l'eau et de la nourriture qu'elle avait piqué. Avant ça, elle enleva l'anneau du cou pour qu'il puisse bouger un peu plus. L'articulation devait être assez douloureuse... Après il ne restait plus qu'a s'occuper de lui.

" Bois..."

Sa voix était semblable a un murmure pour pas qu'on les entendes avant qu'elle ne l'aide afin qu'il se réhydrate. Ensuite elle l'aiderait a manger, car sa posture l'en empêcher un peu.

Ayla devait être sans doute une des esclaves qu'il avait récupérer à un moment donné, mais il ne savait pas du tout ce qu'il lui avait fait, il en voyait défiler bien trop. Il se souvenait des visages terrorisés de certains, et des pleurs de d'autres, mais que pouvait-il faire ? Il ne ressentait aucune compassion à l'égard de ces personnes, pas même un sentiment si ce n'est celui de la haine.

Il se retrouva avec les gades qui l'emmenèrent directement au cachot. Le temps lui parut très long, dormir était impossible dans cette position et sans nourriture son ventre commençait à gémir bruyamment.

Il dut dormir trois petites heures au plus, mais il était difficile de vraiment en estimer le temps. En se réveillant il s'aperçut que les premiers signe de déshydratation était là, la bouche sèche, un léger mal de crâne. Rien de bien plaisant. La nourriture, il pouvait s'en passer mais l'eau beaucoup moins. Il mâcha dans le vide dans l'espoir de faire venir un peu de salive mais rien. Il ne voulait absolument pas mourir de soif.

A sa grande surprise une femme vint le voir, se devait être la femme dont avait parler Hasfa, il l'avait vu du coin de l'oeil plus tôt. Elle lui enleva l'anneau à son cou et il le pencha de chaque coté pour le dégourdir un peu. Elle lui dit alors de boire ce qu'il fit. Il en bu une sacré quantité tellement il avait soif même si une partit coulait à chaque coins de sa bouche.

"Vous devriez me laisser mourir..."

Ayla était quelque peu particulière et secrète. Seule Hafsa connaissait une quantité de chose sur elle. Mais pas tout, la suivante se devait de garder une certaine protection afin qu'on ne la blesse pas. Elle était beaucoup trop fragile pour ça. Cependant un tempérament lui donner une quantité de volonté incroyable pour surmonter les obstacles avec énormément de prudence.

En ce moment, même si son bourreau l'avait envoyé en esclavage ainsi que brutalisé des pires manières. Ayla était là en face de lui, après avoir volé quelque morceau de nourriture et de l'eau. Elle lui avait même détacher le cou afin qu'il puisse se dégourdir. Cette position était très inconfortable, elle ne le souhaitait pour personne... Même pas pour lui. La jeune suivante inspira doucement avant de se lancer dans sa tâche et lui donna a boire. Amir ne comprenait pas ses gestes, il lui disait qu'elle aurait dut le laisser mourir. Ayla ne s'attendait pas du tout à ce qu'il lui parle, de ce fait elle se figea un instant surprise avant de reprendre tout en lui répondant.

" Hors je ne le fais pas. Nous sommes deux contraires, vous comprendriez sans doute jamais ce geste. Mais profiter en tant qu'on vous le propose."

Ayla le fit manger doucement et tout en continuant de le faire boire. La suite que réservait Hafsa serait particulièrement éprouvant.

" Ce que réserve Hafsa. J'y suis contre, mais je peux vous donner un conseil. Surtout n'avalez pas ce qu'elle compte vous faire boire. Gardez le dans un coin et dès qu'elle a le dos tourner crachez le immédiatement."

La jeune suivante finit de s'occuper de lui avant de créer une défaillance dans le tour de cou métallique. Au moins il ne serait pas obliger de le remettre. Ayla se releva et s'en alla doucement tout en faisant attention que personne ne l'est vu venir. Le lendemain, les gardes prendraient Amir pour l'amener en face de Hafsa.

Amir était faible, mais pas assez pour ne pas avoir conscience de ce qui l'entourait, il pouvait aussi se mouvoir sans problème, mais ses entraves le lui en empêchait. Il n'avait plus qu'à attendre sa fin. C'est ce qu'il avait cru jusqu'à ce qu'une personne ne vienne le voir. Elle lui donna à boire, mais il ne comprenait en rien sa réaction. La plupart des gens cherchait à se venger alors pourquoi pas cette femme ?

"Je n'ai pas besoin de votre pitié..."

Pourtant, il ne refusait pas ce que cette femme lui donnait. Il mangeait, même s'il regardait toujours la femme du coin de l'oeil, comme si elle pouvait lui sauter à la gorge d'une minutes à l'autre.

Elle expliqua qu'elle était contre ce que Hafsa prevoyait de lui faire, et qu'il gfallait donc qu'il fasse attention à ne pas boire ce qu'elle allait lui donner.

"Et qui m dit que je devrais vous faire confiance...."

Il ne faisait confiance a personne de toute maniere. Ensuite, le lendemain, il se etrouva fasse à Hafsa bien qu'il était encore faible, il était encore en forme, assez pour avoir la force de trainer les garde.

"Je commençais en m'ennuyer..."

Ayla faisait tout ça, pas par pitié. C'était plutôt particulier, elle savait très bien qu'elle pourrait le laisser mourir. Mais une promesse c'était gravé en elle et jamais elle n'y dérogerait. D'ailleurs quand Amir parla de la pitié, elle lui répondit rapidement.

" Je n'agis pas par pitié. Je me suis seulement juré de ne pas devenir comme vous. "

Elle resta silencieuse un instant.

" Cependant prenez le comme le désirez. Ce que je fais avec vous, je l'aurais également fait avec un autre. Quelque soit votre faute, personne ne doit subir un traitement pareil. Surtout pour condamné ses agissements. C'est comme un serpent qui se mord la queue. "

Sur ce elle continua de s'occuper patiemment de lui et elle le prévint même des projets de sa maîtresse. Il n'avait aucune confiance en elle et en doutait. Il en avait le droit après tout. Ayla se leva avant de lui répondre tout aussi doucement.

" C'est a vous de voir, je ne vous oblige en rien."

Sur ce elle quitta la cellule et repartit dans l'hacienda. Le lendemain, Hafsa demanda aux gardes d'aller chercher le nouvel esclave dans la prison. Ayla était juste au coin de la pièce, elle était toujours la suivante principale après tout. Hafsa était en train de trépigné et regarda Amir arriver surprise de le voir en forme dans un certain sens.

- A ce que je vois tu es encore assez en forme pour avoir l'envie de gaspiller inutilement de la salive.

Hafsa était assez agacer mais elle ordonna rapidement aux gardes de l'immobiliser afin de lui faire boire un liquide rouge. Ayla regardait du coin de l'oeil tout en appréciant pas vraiment cette méthode. Et elle espéra vraiment qu'Amir. Impatiente, Ayla cassa un vase qui attira obligatoirement l'attention de Hafsa. Une petite diversion mais qui lui donna l'occasion d'aider Amir et d'en plus avoir la possibilité de quitter la pièce. Elle ne tenait pas vraiment a y assister. Hafsa, elle croyait plutôt que Amir n'était plus en possession de ses moyens.

Amir comprenait que la jeune femme ne souhaitait pas devenir comme lui, mais il y avait une sacrée différence entre se venger et ressembler à ce qu'il était. On pouvait faire l'un sans faire l'autre ce que ne semblait pas envisager la jeune femme.

"Vous ne seriez pas comme moi même en agissant de la sorte..."

Puis elle expliqua qu'il pouvait le prendre comme il le voulait, et que peu importait la personne elle n'avait pas à subir pareille supplice.

"Vous êtes étrange..."

Ensuite, elle lui dit ce que prévoyait de faire Hafsa mais il ne lui faisait pas confiance, hors il verrait bien. Il ne lui répondit pas. Le lendemain il fit la rencontre pour le troisieme fois de Hafsa.

"Tu ne m'affaiblira pas si facilement."

Puis on l'immobilisa pour lui faire avaler quelque chose, il fit semblant d'ingurgiter le produit, et quand la jeune femme cassa le visage, il le cracha et mit son pied en plein dans la zone sensible des gardes. et les frappa au niveau de la nuque. Bon au moins, il en était débarassé. Ces fers avaient des avantages. Il se dirigea aalors faire Hafsa rapidement pour la plaquer contre un mur.

"Tu crois vraiment que je me ferais avoir de cette manière ?"

Il la coinçait assez fermement et dit :

"Si je te brisait les os ?"

Il avait ses mains au niveau de ses ses coté et appuya fermement de sortes à ce qu'il sente ses cotes se briser.

Ayla avait sa propre vision des choses et qu'elle se venge pour lui était normal. Hors elle n'en avait pas envie.

" Je suis comme je suis... Et j'ai fait mon propre choix "

En tout cas le fait qu'il lui dise qu'elle était étrange la fit sourire doucement, elle le savait bien que trop.

" Les personnes trop normal n'ont que peu d’intérêt m'a t'on dit."

Son père avait était toujours tendre avec elle. Et malgré ses choix surprenant et ses habitudes, il l'avait encouragé a rester elle même sans faire comme les autres voudraient qu'elle soit. Elle était étrange, mais cela lui convenait parfaitement.

Le lendemain, Ayla aida Amir a ne pas être asservit par Hafsa. Hors la jeune noble vu sont plan échoué puisqu'il immobilisa les gardes complétement assommer. Hafsa les regarda stupéfaite avant d'être envoyé brutalement contre le mur. Elle le regarda agacé tout en réprimant la douleur dans son dos et lui cracha même au visage en guise de réponse.

- Je ne suis pas une de tes esclaves...

Hafsa commençait a avoir mal, mais elle se débrouilla pour donner un coup de tête brutal dans le menton, continuant en tapant a l'aide de son genoux les partie sensible d'Amir. Une fois libéré, elle lui assena même un coup de pied au visage pour bien l'éloigner d'elle et lui permettre de reculer.

- Je ne te céderais pas comme tout ceux tu as fait trembler jusqu'à maintenant. Tu n'es pas tout permis ici !

Hafsa le regarda énervé et ne fuit pas vers une garde qu'elle aurait put appeler. Il avait trop eu l'habitude qu'on se soumette à lui par la force. Hors il se trouvait avec un adversaire aussi malin que lui. Et pas sans défense. Hafsa savait tourner les événements a son avantage. Et puis si on venait a l'attaquer, vu qu'elle n'avait pas de force. Elle utilisait celle de son agresseur. Plus sa force est grande, plus c'est facile pour elle.

AMir ne chercha pas plus loin, ce n'était pas dans ses capacité de la comprendre, et puis il n'en avait pas envie, il fallait qu'il l'avoue. Les gens ne l'intéressait pas, il ne valait rien et malgré qu'ils montrent un visages, il pouvait changer le lendemain. En plus il avait apprit à voir le monde en tant qu'ennemi ce qui n'aidait naturellement pas Amir à prendre confiance en les autre. Il prit tout de même le temps de regarder la jeune femme pendant un petit moment, puis la laissa partir.

Le lendemain, il renversa aisément la situation à sa faveur, grâce aux indications de la jeune femme la veille il fallait l'avouer. Hafsa sembla surprise et il en profita pour la plaquer contre un mur. Illui cracha à la figure, mais cela ne fit même pas réagir Amir.

"Non, tu es une petite idiotes qui se même d'affaire qui ne la regarde pas..."

Il n'en avait ien à faire de lui faire mal et continuait même, seulement, elle lui mi un coup de tete dans le menton qui fut assez douloureux. Et tapa avec son genous, il recula, un peu forcé. Il évita de justesse le coup de pied au visage.

"C'est bien, je ne cèderais pas non plus..."

Il portait un sourire mauvais sur son visage. Et attrapa l'une des armes des gardes assomé.

"j'ai peut être les mains attaché, mais je peux toujours me servir d'une arme."

Il l'attaque avec un coup dans le bras, donc la force feroce était effrayante.

Hafsa ne s'attendait pas a ce qu'Amir soit en possession de ses moyens. Du moins ainsi, il était vraiment de bonne constitution. En tout cas, le jeu se faisait dangereux puisqu'il avait réussi a neutraliser les gardes et a la bloquer contre un mur.

- Je fais ce que je veux ! Après tout c'est bien connue. Les nobles on l'art de se mêler des choses qui ne les regardes pas.

Sur ce, elle lui donna un coup de tête avant de le faire reculer. Malheureusement, il évita son coup de pied ce qui l'agaça tout en se mettant sur la défensive. Il ne voulait pas céder. Cependant il prenait la cimeterre du garde ce qui l'inquiéta, encore plus quand il fondit sur elle

- Radja !!

Hafsa avait réussis a esquiver de justesse mais une égratignure arriva. Mais Amir tomba complétement en avant sous le poids du tigre qui venait de faire son entrer. Il ramassa même la cimeterre pour l'amener a sa maîtresse qui le caressa avec beaucoup de tendresse. A tel point qu'il ronronna.

- Merci, mon radja. T'es adorable.

Elle sourit avant de prendre la cimeterre pour se défendre. Vu qu'elle avait appelé son animal de compagnie. La garde ne tarda pas a arriver en grand nombre. Emportant les gardes et en plus de menacer Amir de leurs armes.

Amir n'aimait pas se laisser faire, peu importe que la situation soit des plus mauvaises pour lui, il préférait de loin se défendre. Alors même si la jeune femme elle même se défendait des coup du jeune homme, il ne se laissait pas faire. POur le moment elle était bloqué contre le mur.

"Sale petite fouineuse !"

Puis elle lui mit un coup de tête assez douloureux et tenta de lui donner un coup de pied dans la tête, mais elle manqua son coup de peu, heureusement sinon il l'aurait sentit passé. Seulement, alors qu'il recupérait une cimeterre, la jeune femme appela quelqu'un, il se retourna quand quelque chose de lours lui appuya sur le dos.

"He ?"

Il se fit ecraser et s'aperçut que c'était un tigre qui venait de le faire tomber. Il se releva, il avait les gardes autour, et il tenta de s'achapper malheureusement, il n'eut pas le temps de fuir qu'il fut rattraper. Il pestait, grognait

Hafsa se battait bel et bien avec son prisonnier qu'on domptait comme un animal sauvage. Hors elle essayait en ce moment même de plus survivre qu'autre chose. La guerre était bel et bien ouverte. Par chance, alors qu'il abattait la cimeterre Radja arriva immédiatement pour la sauver. Chose qui la soulagea. Son tigre, elle l'échangerait pour rien au monde. Tant qu'à Amir, il était de nouveau attrapé.

- Au lieu de vouloir me tuer, tu aurais put fuir. T'es idiot toi aussi !

Hafsa le regarda déconcerter avant de dire au garde de l'attacher mais cette fois près du jardin. Cependant dès que Hafsa était partit, les gardes appliquèrent les ordres du père. Un moindre écart et il est battu. Les gardes emportèrent Amir jusqu’à la zone de punition où ils le fouettaient brutalement. Jusqu'à ce que la peau s'arrache et que le corps soit a vif. Mais ils ne s'arrêtaient pas au dos. En tout cas les gardes s'en donnèrent a coeur joie avant de l'attacher a un des piliers de l'hacienda. Loin de là où on réceptionne mais un endroit complétement fermé. Seul le jardin était visible. Ils le laissèrent la sans qu'il puisse avoir d'eau ou de nourriture. Le laissant également les poignets attaché de l'autre côté du pilier. Pas grand mouvement a part les pied ou les jambes.

La fin de soirée fut plutôt passante, la plupart des esclaves connaissaient Amir. Et il ne se génèrent pas pour l'humilier ou lui balancer de l'huile chaude ou autre chose jusqu'à ce qu'une voix s'impose.

- Vous avez pas fini ! Retournez travailler !

Les esclaves retournèrent rapidement travailler, tandis qu'Hafsa fit demi tour. Elle ne tenait pas a assister a la suite. Mais elle murmura doucement.

- Vas y si tu y tiens temps. Décidément je ne te comprend pas...

Sur ce elle s'en alla, laissant apparaître Ayla du couloir en compagnie de Radja qui se coucha non loin d'eux. Pendant ce temps, la jeune femme s'installa en face d'Amir pour arrêter les brûlures causé. Le reste était pour le soigner des coups. Bien sûr elle ne dit rien et n'attendait pas du tout a ce qu'il lui parle. Elle le faisait tout simplement.

Amir était quelque peu sauvage pour un simple marchand d'esclave, pour ne pas dire une bête sauvage, la pitié il ne connaissait pas et la violence ne le dérangeait guère. Seulement, il e retrouva à terre puis prit par les gardes.

"Si je fuyais, cela ne changerait rien..."

Puis elle dit aux gardes de l'attacher, mais contrairement à ses ordres, ils obéirent aux ordres du père, c'est-à-dire le torturer. Il le fouettèrent brutalement, et même si Amir était habitué la douleur était belle et bien présente, il n'en pouvait plus. Tout les muscles de son corps étaient tendus et il grimaçait. Il ne pouvait cependant pas bouger alors il attendit que le temps passe en silence. Il fut attaché à l'un des piliers de la demeure. Il était coincé là et il ne bougeait pas, il avait trop mal pour réagir, et faisait de son mieux pour oublier la douleur. Il redressa faiblement la tête en entendant une voix.

"Haaah..."

Puis elle parla à quelqu'un et il ne bougea pas. Ayla le rejoignit et il se laissa faire puisqu'aucun autre choix ne s'offrait à lui.

"Laisse... J'ai l'hhabitude.."

Il soupira ddoucement.

Hafsa ne comprenait pas se type. Il aurait très bien put fuir. Hors il ne l'avait pas fait. Du coup il se fit battre par les gardes sous les ordres du père. Le châtiment fut léger par rapport a l'envie que possédait les gardes de le frapper plus pour apprendre a se garnement les règles de la maison. Mais les esclaves s'en chargèrent en continuant la torture avec des restes d'huile chaude et tout autre détritus. Puis Ayla arriva pour le soigner ou du moins arrêter les brûlures. Mais il était sacrément dans un sale état... Mais Amir était fidèle a lui même, il lui demandait de le laisser.

" Vous savez que contre moi, c'est peine perdu."

Elle lui avait répondu avec un sourire discret avant de réfléchir tout en regardant autour d'elle. Ayla regarda ensuite le tigre qu'elle appela dans un murmure.

" Radja!"

Le tigre la regarda et se leva se doutant de quelque chose. En général quand elle l'appelait ainsi c'était pour faire le gai. Pendant ce temps, Ayla alla derrière le pilier et détacha les mains de Amir pour le prendre avec elle afin de l'aider a marcher. Les gardes lui avaient aussi bien tailler les jambes... De quoi pas aller de mains morte. Radja les suivit d'un pas discret tout en écoutant et alertant d'une oreille Ayla qui se méfiait des autres.

Ainsi elle put guider Amir jusque vers sa chambre où elle le plaça sur son lit. C'était pas le grand luxe mais c'était pas la misère non plus. Radja rentra avec elle avant de se placer dans sa chambre sur le tapis qu'il avait l'habitude de prendre pour dormir. L'effort avait un peu tiré sa capuche qui lui découvrit l'avant du visage, elle ne s'en préoccupa pas préférant d'abord regarder si personne les avait vu et enfin elle ferma la porte. Ayla remit bien sa capuche avant de rejoindre Amir.

" Mettez vous sur le dos, s'il vous plait."

Elle le regarda avant de s'asseoir juste au bord et commença a nettoyer les blessures pour qu'elles cicatrisent. Personne irait chercher Amir ici. Surtout dans les appartements de l'esclave comme on disait défigurer. Alors que ce n'était pas le cas.

La situation dans laquelle il était ne lui plaisait vraiment pas, mais il avait très peu dormit, il venait de se battre, et de se faire battre durement pas des gardes, puis c'était ensuite par les esclaves qui s'amusait lui faire subir énormément. Mais il se taisait supportant tout ces supplices tant bien que mal. Si Hafsa n'était pas arrivé cela n'aurait sans doute pas cesser, puis Ayla vint à son secours, il ne voulait pas de son aide.

"Je sais...."

Il n'était pas en état d'en dire beaucoup et le moindre mot semblait lui prendre une quantité d'énergie considérable. Puis elle appela le tigre, mir le su tout de suite en entendant le nom.

Ayla le détacha, et loin de pouvoir s'enfuir, il se massa uniquement les poignet douloureux eux aussi. Amir refusa l'aide de la jeune femme pour marcher, mais il la suivait, au radar il n'avait d'autre choix que de suivre la moindre présence familière. Plu tard dans la chambre il s'assit sur le lit, et vit le visage de la jeune femme. Son visage ne lui disait rien. Il se mit sur le dos et se laissa faire malgré la douleur.

"Je déteste les esclaves..." dit-il calmement.

Quand la douleur fut trop grande il se crispa brutalement.

"Une personne qui m'était chere m'a trahit et je ne pourrait jamais le pardonne...."

Ayla était quelque peu têtu et même si on voulait pas de son aide elle l'offrait sans rien demander. Du coup quand Amir capitula cela la fit sourire doucement et contente. Ensuite elle emmena le marchand avec elle jusqu'à sa chambre. Par chance et étonnamment il le suivit. Ayla avait été très attentive et elle conduisit jusqu'à sa chambre où il put s'installer sans trop de problème.

Une fois arrivé, Amir s'était installé sur le lit puis allonger a la demande de la suivante. Ainsi elle put commencer a nettoyer doucement les blessures afin qu'elle ne s'infecte pas. La jeune femme travaillait patiemment a sa tâche quand Amir commença a parler. Il avoua qu'il détestait les esclaves. Cet aveu n'ébranla pas la jeune femme. Car vu son comportement avec eux, aimer les esclaves auraient été plutôt étonnant voir malsains. Puis il continua en avouant qu'on l'avait trahit et profondément blesser. A tel point qu'il ne pouvait plus le pardonner.

" Et c'était une esclave..."

Ayla avait dit ça par pur déduction mais elle n'avança pas plus sur le sujet et elle lava le linge avant de l’essorer pour continuer a désaffecter avec un peu d'alcool. Du coup elle resta silencieuse avant de tout de même préciser.

" Je n'en parlerais pas, je vous le promet. Après libre a vous de vouloir me croire ou non."

Amir ne devait pas vraiment avoir confiance en elle, mais elle l'assumait parfaitement. Elle inspira un instant avant de lui faire signe de se lever pour l'entourer de bandage afin que les blessures ne se salissent pas. Et puis cela pourrait aussi arrêter des petites coulures de sang désagréable.

" Vous pouvez dormir ici, personne ne viendra vous cherchez là."

Lorsque l'on regardait le visage d'Amir, il semblait être aux porte de la mort, une porte difficile à fermer, mais tout autant à ouvrir, sauf que la sienne était en permanence entre ouverte. Il ne comprenait pas bien cette impression, peut être son manque d'attache à sa terre ? C'était fort probable, il n'avait personne. Il n'avait plus personne.

Il s'installa sur le lit sans trop de problème puis allongé sur le dos. Nettoyer les blessure n'était pas très agréable cependant, il se laissait tout de même faire. Cela laissait l'occasion à la jeune femme d'admirer de nombreuses cicatrices similaires à ses blessures. Il finit par parler, il en avait besoin, se taire pendant trop de temps l'avait un peu attristé, ressentir une certaine solitude qu'il ne connaissait pas.

"C'est ça... à l'époque je n'étais pourtant pas pour faire du mal aux esclaves. Puis après avoir été trahit j'ai commencé à tous les haïr, à Hair tout le monde. Je suis devenue un pauvre type que tout le monde déteste... Mais ça me convient, je ne dois rien à personne et je n'ai pas à me preoccuper des autres."

Il ne donna pas les détails de l'histoire, mais plutôt son ressentit, l'alcool sur ses blessure était encore plus douloureux que le reste.

"Parles en, ça ne change rien...."

Il lui avait dit alors il assumait le fait qu'elle le dise ou non. Il se redressa à sa demande, et elle lui mit un bandage pour proteger ses blessure.

"Il fraudra bien qu'on me retrouve de toute manière...."

Il se leva et s'assit dans un coin de la pièce.